Tu peux faire une grosse promesse et obtenir des clics.
C’est le jeu le plus facile en marketing : promettre la lune. Mais ce jeu-là a un coût caché : Tu attires les touristes, ceux qui veulent un miracle sans effort. Tu fais fuir les prospects sérieux, ceux qui savent très bien que les miracles n’existent pas. 👉 Et au final, tu remplis ton pipeline de curieux… pas de clients. Les meilleurs vendeurs high-ticket l’ont compris. Ils ne vendent pas par promesse. Ils vendent par preuve. Ça change tout. Parce qu’une promesse s’écoute, s’analyse, se juge. Alors qu’une preuve… ça se constate. Ça s’impose d’elle-même. Concrètement, ça veut dire : Montrer la mécanique de ton système, au lieu de dire « fais-moi confiance ». Prouver que ton process fonctionne, pas une fois… mais encore et encore. Mettre en avant des résultats réels, avec de vrais noms, de vrais chiffres, de vraies histoires. C’est simple : Une promesse, ça crée du doute. Une preuve, ça crée de la certitude. Et c’est la certitude qui fait sortir la carte bleue.